c'était en mois dhou l'Hidja,
Un peu avant l'Aid el adha.
Le grand Pharaon en parade,
Dans une arène humaine en rade.
Exhibant ses muscles noueux,
Bien debout sur le sol boueux.
Qui osera défier le Roi?
Usant, de cailloux et poids,
D'un lancé de bras et de mains,
A battu les géants et nains.
Il a vaincu tous ses ennemis,
Lions, guépards et petites fourmis.
Sauf un petit fennec téméraire,
Aguir, son nom le plus brave de ses frères.
A tenu tête à sa majesté,
Sans trembler devant sa cruauté .
A planter ses crocs où l'orgueil crève,
De ce titan, d'une patte rapide et brève,
L'a mis à terre, le fennec vainqueur
S'en va ailleurs,
Pour être avec les meilleurs.
Acclamé par l'arène d'une voix,
" One, two, thrée viva Aguir "
Un peu avant l'Aid el adha.
Le grand Pharaon en parade,
Dans une arène humaine en rade.
Exhibant ses muscles noueux,
Bien debout sur le sol boueux.
Qui osera défier le Roi?
Usant, de cailloux et poids,
D'un lancé de bras et de mains,
A battu les géants et nains.
Il a vaincu tous ses ennemis,
Lions, guépards et petites fourmis.
Sauf un petit fennec téméraire,
Aguir, son nom le plus brave de ses frères.
A tenu tête à sa majesté,
Sans trembler devant sa cruauté .
A planter ses crocs où l'orgueil crève,
De ce titan, d'une patte rapide et brève,
L'a mis à terre, le fennec vainqueur
S'en va ailleurs,
Pour être avec les meilleurs.
Acclamé par l'arène d'une voix,
" One, two, thrée viva Aguir "
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